L'Eglise, l'école.
 L'ECOLE 
ECOLE DES GARCONS

La maison d’école la plus ancienne est celle des garçons. Elle paraît avoir été bâtie vers 1840. on trouve en effet, aux archives de la mairie, une ordonnance royale, en date du 12 novembre 1839, qui autorise la commune à s’imposer extraordinairement , en trois ans, au principal des contributions directes, la somme de 2071f représentant 10 centimes par année, pour subvenir, avec d’autres ressources et un secours accordé par l’état, aux frais de construction d’une maison d’école. 
cette maison, bâtie en haut d’un terrain en pente, situé à l’extrémité est du bourg, près de l’étang, est beaucoup trop exiguë. La superficie de la classe n’est que de 30 mètres carrés. 
Avant sa construction, l’école se tenait dans un local étroit et sombre appartenant à M. LAMARRE, ex-instituteur, qui l’habite encore aujourd’hui, et ou plus de 100 enfants étaient entassés l’hiver. 
Pendant la Révolution, un nommé Boulain instruisait les enfants dans l’une des chambres du presbytère. 
L’instruction a toujours été donnée à Neuilly-le-Vendin par des instituteurs Laïques. Jusqu’en 1821, des hommes peu instruits, non pourvus de titres, réunissaient les enfants certains jours et à certaines heures, et leur apprenaient à lire et à écrire. Quelques-uns même se rendaient à domicile. Ils étaient payés par les familles, quelquefois en nature et ne recevaient aucun traitement. 
En 1811, la commune accorda au Maître d’école une indemnité de logement de 70f. 
Voici les noms de quelques-uns de ces maîtres : Moîteaux, Roussel, Boulain, Pierre le Gros, René Piéboux. 
Leur enseignement n’eut sans doute pas de résultats bien appréciables, car, jusque vers 1830, on constate par l’état civil, qu’à l’exception du maire, bien peu de personnes savaient signer. 
C’est à partir de 1821 que les instituteurs brevetés ont exercé dans la commune. Le premier fut M. Lamarre Michel Victor, ancien professeur au collège de Falaise. Il ne reçut, jusqu’en 1834, qu’une indemnité de logement qui variait de 50 à 100f. A cette époque, un traitement de 200f, lui fut accordé. 
Il fut remplacé en 1844 par M. Lamarre Victor, son fils auquel M Aguilé, Jules Charles, instituteur actuel, a succédé en 1880. 

ECOLE DES FILLES 

Avant 1889, l’école des filles était installée dans une maison en location, située en dehors du bourg, sur le chemin de St Ouën le Brisoult. Le montant de la location était de 130f. Le local étroit mal aéré et mal éclairé était défectueux sous tous les rapports. 
En 1887, le Conseil municipal, ému de cet état de choses et cédant au voeu de la population, décida la construction d’une maison d’école communale qui, commencée en 1888, fut terminée en 1889. 
Pour faire face à la dépense, la commune a contracté un emprunt de 28000f, et s’est imposée de 14ces ½ pendant 30 ans. 
L’Etat y a contribué pour les 42/100. Cette maison, à laquelle est annexée une école enfantine, est bâtie sur un terrain élevé, sain, à l’extrémité ouest du bourg. Elle comprend un logement très suffisant pour les institutrices, 
deux classes spacieuses et bien éclairées, deux grandes cours et deux vastes préaux. 
Les deux écoles y ont été installées le 2 avril 1889. 
L’enseignement, à Neuilly-le-Vendin, a toujours été donné aux filles par des religieuses de la congrégation de Briouze. 
Voici le nom de celles qui y ont successivement exercé : Mme Soeur Marchand, de 1820 à 1834, Elisa, de 1834 à 1842, Delalande et Cailly, de 1842 à 1877, Collet, de 1877 à 1883, Morel et Bouteloup, actuellement en fonctions.
 Il n’existe aucun legs en faveur des écoles. 
EGLISE

Il y a quelques années on voyait encore sur la place publique du bourg une église très ancienne à laquelle il était impossible d’assigner un style et une époque, et qui menaçait de tomber en ruines.  
L’écroulement d’un pan de mur rendit sa reconstruction indispensable.  
La première pierre de la nouvelle église, qui s’élève sur l’emplacement de l’ancienne, avec une orientation différente, fut posée le 29 juillet 1894, et la bénédiction en eut lieu le 20 décembre.  
 
Elle est en pur style du XIIIe siècle.  
Son extérieur en pierres de grès, taillées symétriquement et disposées par assises régulières, six façades, ornée de colonnettes et de rosaces, et surmontée d’une flèche en granit, élancée, qui atteint une hauteur de 46m ; tout lui donne un aspect coquet et en fait une des belles églises de la contrée.  
Le pavage du chœur est en mosaïque d’un beau dessin. Les fenêtres sont ornées de neuf vitraux, œuvre d’un artiste, qui représentent la nativité de la Vierge, ses trois apparitions à Pontmain, à Lourdes et à la Salette, l’apparition du Sacré Cœur à marguerite Marée, un St Théophile, un St Louis et deux grisailles.

ADMINISTRATION

La commune de Neuilly-le-Vendin compte actuellement (1899) 282 électeurs. Elle est administrée par M. Breton, Maire, Moulin, Adjoint, douze conseillers municipaux, dont 10 en exercice. M. M. Bisson, Chantepie, Desgenetais, Ernoult, Fanneau, Leblanc, Legentil, Maubert, et 2 décédés : M. M. Roudeville et Noir. 
Recettes Dépenses 
Ordinaires 2694 Ordinaires 3518 
Extraordinaires 2408 Extraordinaire 2408 
Total 5102 Total 5926 
Situation Financière en 1899. 
Récapitulations   
Recettes 5102  
Dépenses 5926   
Déficit 824  
Impositions extraordinaires   
La commune est imposée extraordinairement de :  
1) 12ces pour déficit budgétaire  
2) 1ce pour le service de l’assistance médicale gratuite  
3) 8ces pour remboursement d’un emprunt de 14000F pour les chemins vicinaux, jusqu’en 1905.  
4) 2ces pour remboursement d’un emprunt de 1000F pour déficit budgétaire, jusqu’en 1900  
5) 14ces1/2 pour remboursement d’un emprunt de 28000F pour construction d’une école de filles, jusqu’en 1917.  
La valeur du centime communal est de 68F.  
A part l’église, le cimetière et les deux maisons d’école, la commune ne possède aucune propriété.  

Instruction publique
 
La commune de Neuilly-le-Vendin dépend de l’inspection primaire de Mayenne. L’instruction y est donnée par un instituteur laïc ; M. Aguilé, et par deux institutrices congréganistes ; Mme Morel et Bouteloup.  
Cultes : Le seul culte professé est le culte catholique. La paroisse est administrée par un desservant, M. l’abbé Beaussier, assisté d’un vicaire, M. l’abbé Rouzeau.  
Assistance publique : L’assistance publique est assurée dans la commune par un service médical gratuit, pour lequel elle inscrit chaque année une somme de 68F, à son budget, et par un bureau de bienfaisance, qui n’a pas de ressources propres, mais dont le budget est alimenté par le produit des concessions de terrain dans le cimetière.  
Du reste, la commune ne compte que treize familles indigentes parmi lesquelles 8 ne se composent que d’une personne chacune.  
Il n’y a ni sociétés d’assurances ou de secours mutuels, ni syndicats. 
La vie à Neuilly le Vendin en 1899 
 
     Géographie 
 
La population de la commune de Neuilly-le-Vendin qui, en 1851 était de 1739 habitants, n’est plus aujourd’hui (1896) que de 915.  
 
Situations.   
- La commune de Neuilly-le-Vendin, qui est limitrophe du département de l’Orne, est située au nord-ouest du canton de Couptrain, dont elle dépend, et dans la partie nord-est de l’arrondissement de Mayenne et du département de la Mayenne.  
Limites. - Les limites naturelles sont au nord-est, le ruisseau de la Landelle ou le Vendin, qui le partage pendant quelque temps de la commune de l’étang des landes, aujourd’hui transformé en prairie, qui la sépare de la commune de St Aignan ; au sud-ouest, l’Aisne, affluent de la Mayenne, qui coule entre son territoire et celui des communes des Chapelles et de Madré, enfin a l’ouest, la Mayenne et le ruisseau de la Rochelle ou le Douet-Tireau qui, sauf pendant une interruption d’environ un kilomètre, forment sa ligne de partage avec la commune de St Ouen-le-Brisoult.  
Les autres limites ne sont que des lignes conventionnelles, formées par des sentiers et des chemins.  
Superficie. – La superficie de la commune est de 1460 hectares ; soit la 11e partie de celle du canton ; la 143e partie de celle de l’arrondissement et la 354e parie de celle du département.   
 
Constitutions géologiques du sol.  
 
- Par sa constitution physique, la commune de Neuilly-le-Vendin fait partie du Massif breton. On y rencontre, à l’est, une portion de terrain primitif, représenté par un gisement de granit, compris entre des schistes quelque peu micacé le long du gisement de granit.  
Le terrain silurien moyen occupe le nord, c'est-à-dire la partie culminante. La roche est formée de grès armoricain. (Renseignements fournis par M. Lemonnier, conducteur des ponds et chaussées.)  
 
Orographie. 
 
La commune de Neuilly-le-Vendin est située sur le versant méridional d’une des ramifications des collines de Normandie, à une altitude moyenne de 212m. Le terrain qui descend en pente douce du nord au sud, jusqu’aux rives de l’Aisne, est coupé, vers le milieu de l’est a l’ouest, par l’étroite vallée de la Mayenne. Trois dépressions légères sortes de sillons étroits et tortueux, où coulent des ruisseaux qui, suivant l’inclinaison du sol descendent du nord, viennent aboutir à cette vallée.  
Les points culminants sont, au nord, le village des Courteilles, 259m ; a l’est, ceux du Tertre 182m et de la Goignère, 180m. Le bourg est à 192m.   
Hydrographie.  
 
La commune de Neuilly-le-Vendin appartient au bassin de la Loire. La Mayenne, qui la traverse de l’est à l’ouest dans sa plus grande largeur, coule au fond d’une étroite vallée, peu profonde couverte de verdoyantes prairies.  
Les affluents a droite, qui prennent leur source sur les confins de la forêt de la Motte et ont leur direction vers le sud, sont :  

- Le ruisseau de Bourchien, qui passe près du village de la Bouderie, au dessous duquel est son confluent.  
- Le ruisseau de la Landelle ou de Vendin, qui passe prés du village de ce nom et de celui de Marmaigne, traverse le petit étang du bourg, et va, à environ deux cents mètres de la, se jeter dans la Mayenne.  

- Le ruisseau de la Roche ou de Douet-Tireau, qui prend sa source près du village des Courteilles, passe à la Rigaudiere, à la Rochelle, au Plessis, aux Terriers, et à Courdhoux, villages situés a la limite de la commune de St Ouen-le-Brisoult sur le territoire de laquelle il entre ensuite pour aller se rendre dans la Mayenne à environ quinze cents mètres du point ou celle-ci commence à partager les deux départements de la Mayenne et de l’Orne.
 
Ces trois ruisseaux, qui coulent au fond de petites vallées étroites et tortueuses, n’ont que très peu d’importance et tarissent même souvent en été.  
Le seul affluent de la Mayenne, sur sa rive gauche, est l’Aisne, qui coule vers le nord-ouest et arrose Javron et les Chapelles.  
L’Aisne reçoit à droite le ruisseau de l’Etang des landes, forme ensuite la ligne de partage entre la commune de Neuilly et celles des Chapelles et de Madré, et se réunit a la Mayenne près de Vaugeois. La partie de territoire comprise entre ces deux rivières est un large plateau qui descend en pente douce vers leur confluent et n’est coupé par aucun accident de terrain, ce qui explique l’absence complète de ruisseaux dans cette partie.  

La commune ne possède pas d’étang ; les seules pièces d’eau de quelque importance qu’on y remarque, et auxquelles on donne improprement ce nom, sont : l’étang du bourg, d’une superficie de 53 ares, alimenté par le ruisseau de Vendin, et celui de la Plonnière d’une superficie de 80 ares, situé à la limite de la commune de la Pallu. Il y a quelques années, on y voyait encore l’étang des landes, d’une superficie d’environ 1h60 ; compris en partie sur le territoire de la commune de Neuilly et en partie sur celui de la commune de St Aignan. Cet étang est aujourd’hui transformé en prairie.  
Les sources y sont nombreuses, et fournissent en abondance aux habitants une eau limpide et pure. La plus importante se trouve au sud du bourg et a sa proximité. Ces eaux se rendent directement dans la Mayenne. Une autre, située prés du village des Courteilles, donne naissance au ruisseau de la Roche, dans lequel se déverse une troisième, qui sort de terre près du village même de la Rochelle.  
 

 
 Climatologie.  
 
Le climat de la commune de Neuilly-le-Vendin est tempéré, plutôt humide que froid. La température moyenne y est de 9°35.  
La situation sur le penchant méridional d’une chaine de petites collines, que couronne la foret de la Motte, la met a l’abri des vents du nord. La chaleur y est tempérée par les cours d’eau qui l’arrosent et par la présence d’arbres nombreux qui, de loin, lui donnent l’aspect d’un bosquet.  
Les perturbations violentes de l’atmosphère ne s’y font que très rarement sentir, et la pression barométrique moyenne y est de 0m, 763.  
La direction la plus ordinaire des vents est sud-ouest, au printemps, et nord-est, a l’automne.  
Cette direction des vents, leur fréquence et leur violence relative à ces deux époques doit être attribuée au voisinage de l’océan. Au printemps, d’énormes bancs de glace y descendent des régions boréales, et, pour fondre, absorbent la chaleur. Il en résulte que le réchauffement de l’atmosphère est plus rapide sur terre ou les couches inferieures échauffées se déplacent, produisant des vides que vient remplir l’aire plus froid de la mer.  
A l’automne, un phénomène contraire se produit, le refroidissement étant plus rapide sur terre que sur mer.  
Neige. La neige ne fait que de courtes apparitions. La durée moyenne pour les 20 dernières années n’est que de 10 jours, et sa hauteur maximum de 0.m20. Toutefois, il faut excepter l’hiver de 1879-1880 où elle commença à tomber de 4 décembre et ne disparut que le 8 février. (Notice historique de M. Lamarre.)  
Il est présumable que ce peu de durée des neiges est dû à l’absence presque totale de terrains incultes, et au réchauffement du sol par les engrais. On remarque, en effet, que, après qu’elles ont complètement disparu de notre contrée, elles couvrent encore les points culminants voisins couronnées de bruyères et de forêts.  
Pluie. Les pluies sont généralement fréquentes et abondantes au printemps et à la fin de l’automne, mais rares en été, la sécheresse, qui se fait souvent sentir en cette saison et au commencement de l’automne, est très préjudiciable aux récoltes. La hauteur moyenne de l’eau est de 1m/m93.  
Orages. Les orages sont peu fréquents et ne causent que des dégâts sans importance. Il en est un cependant dont les habitants ont conservé le souvenir. Il éclata le 18 juin 1877, dans l’après-midi. En un quart d’heure, une pluie torrentielle fit déborder les ruisseaux. L’eau coulait avec une telle force qu’un pont en pierre, établi sur le ruisseau de la Roche, fut emporté, et que la route départementale de Pré-en-Pail à Domfront, qui sert de chaussée à l’étang du bourg, fut recouverte de 0.m45 d’eau, sur une longueur de cent mètres. La vallée de la Mayenne fut submergée, et les dégâts sur les foins furent considérables.  
On a souvent remarqué, au commencement des orages, que les nuages, venant ordinairement du sud-ouest, s’avançaient jusqu’au dessus du bourg, puis prenaient l’une des directions est nord-est ou est, sud-est, suivant ainsi l’une des vallées de la Mayenne ou de l’Aisne.  
(1)Outre les nombreuses espèces d’oiseaux que l’on trouve en toutes saisons dans nos contrées, quelques-unes les quittent à l’automne pour y revenir avec le printemps. Voici les noms de quelques-uns de ces oiseaux, avec leurs dates ordinaires d’arrivée et de départ. 

Noms des oiseaux Arrivées Départs 
  • Hirondelle de cheminée 15 avril 10 octobre 
  • Coucou 12 avril 15 juillet 
  • Rossignol 17 avril 20 juillet 
  • Loriot 1er juin 25 juillet 
  • Hirondelle de fenêtre 25 avril 15 octobre 
  • Huppe 15 avril 20 septembre 
  • Martinet noir 1er mai 25 septembre 
  • Tourterelle 5 mai 30 septembre 
  • caille 1er juin 15 septembre 

En novembre, des bandes innombrables de corbeaux s’abattent sur les champs ; en février et mars, les prairies en sont couvertes. Le passage des oiseaux migrateurs a lieu en mars et novembre.  
A moins d’importantes variations dans la température, le fenaison commence au 15 juin et finit au 15 juillet au 21 août. La cueillette des fruits se fait en octobre. 

Faune.  
 
Le voisinage de la forêt de la Motte rend la commune de Neuilly assez giboyeuse. Le lièvre y est commun ; le lapin assez abondant dans le nord, tend à disparaître dans le centre et la parie méridionale, par suite du défrichement presque complet du sol. De nombreux écureuils habitent les hautes futaies. Parmi les autres petits mammifères, la belette, le putois et la fouine ravagent presque continuellement les vergers et les poulaillers ; les rats noirs et les souris infestent les greniers ; les mulots, les musaraignes, les campagnols pullulent dans les champs ; les rats d’eau, dans les rivières, ruisseaux et étangs, ou l’on rencontre aussi la loutre, ce destructeur du poisson.  
La taupe et surtout le hérisson, que devait respecter le cultivateur, deviennent rares par suite de la guerre acharnée qu’on leur fait.  
Outre les nombreuses espèces de petits oiseaux, qui égayent les bocages de leur chant, on trouve encore la perdrix grise –la rouge est inconnue-, la caille, le râle de genêt, l’alouette, la grive, le merle – devenu rare-, la tourterelle et le ramier. La buse, le milan, l’épervier –rare- le balbuzard leur fond la chasse et en détruisent beaucoup.  
Parmi les oiseaux nocturne, citons le hibou, la chouette, le grand duc, -plus rare-. En hiver, les rives de la Mayenne servent souvent de refuge à diverses espèces d’oiseau de passage : hérons, canards sauvages, bécasse, sarcelles, les vanneaux s’abattent par bandes dans les prairies, ou se tient aussi la bécassine, dans les endroits humides.  
On trouve encore dans les marais la poule d’eau, la foulque noire et le grèbe. La Mayenne et l’Aisne, autrefois très poissonneuses, le sont beaucoup moins depuis quelques années. On y pêche la truite, la perche, le brochet, le barbeau, le chevenne, l’anguille, le gardon, le goujon et l’ablette. L’écrevisse, qui était très commune dans les ruisseaux, a complètement disparu.   
 
Flore.  
 
La flore n’offre rien de particulier dans la commune. On n’y trouve non plus ni grottes, ni curiosités naturelles. 
 
Observations sur les phénomènes de la végétation et sur les animaux : 
Céréales 
Espèces Semailles Epiage Floraison moisson 
  • Blé d’hiver 20 octobre 1er juin 15 juin 25 juillet 
  • Seigle 15 octobre 1er mai 15 juin 20 juillet 
  • Orge de printemps 5 avril 25 mai 5 juin 1er août 
  • Avoine de printemps 20 mars 15 juin 25 juin 1er août 
  • Sarrasin 1er juin 15 juin 15 juillet 10 septembre 
Plantes diverses  
Phénomènes observés Dates 
  • Vigne bourgeonnement 1er avril 
  • Feuillaison 15 mai 
  • Apparition de l’oïdium 1er juin 
  • Trèfle floraison 15 juin 
  • fauchaison 15 juin 
  • Fauchaison des prés hauts et secs 18 juin 
  • Fauchaison des prés bas 25 juin