« D'azur à deux fers de lance adossés et touchant les bords de l'écu, joints par un bâton, mis en fasce, accompagné en chef et en pointe d'une rose; le tout d'argent coupé de l'un dans l'autre.»
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de Neuilly le
Vendin
En novembre, des bandes innombrables de corbeaux s’abattent sur les champs ; en février et mars, les prairies en sont couvertes. Le passage des oiseaux migrateurs a lieu en mars et novembre.
A moins d’importantes variations dans la température, le fenaison commence au 15 juin et finit au 15 juillet au 21 août. La cueillette des fruits se fait en octobre.
Faune.
Le voisinage de la forêt de la Motte rend la commune de Neuilly assez giboyeuse. Le lièvre y est commun ; le lapin assez abondant dans le nord, tend à disparaître dans le centre et la parie méridionale, par suite du défrichement presque complet du sol. De nombreux écureuils habitent les hautes futaies. Parmi les autres petits mammifères, la belette, le putois et la fouine ravagent presque continuellement les vergers et les poulaillers ; les rats noirs et les souris infestent les greniers ; les mulots, les musaraignes, les campagnols pullulent dans les champs ; les rats d’eau, dans les rivières, ruisseaux et étangs, ou l’on rencontre aussi la loutre, ce destructeur du poisson.
La taupe et surtout le hérisson, que devait respecter le cultivateur, deviennent rares par suite de la guerre acharnée qu’on leur fait.
Outre les nombreuses espèces de petits oiseaux, qui égayent les bocages de leur chant, on trouve encore la perdrix grise –la rouge est inconnue-, la caille, le râle de genêt, l’alouette, la grive, le merle – devenu rare-, la tourterelle et le ramier. La buse, le milan, l’épervier –rare- le balbuzard leur fond la chasse et en détruisent beaucoup.
Parmi les oiseaux nocturne, citons le hibou, la chouette, le grand duc, -plus rare-. En hiver, les rives de la Mayenne servent souvent de refuge à diverses espèces d’oiseau de passage : hérons, canards sauvages, bécasse, sarcelles, les vanneaux s’abattent par bandes dans les prairies, ou se tient aussi la bécassine, dans les endroits humides.
On trouve encore dans les marais la poule d’eau, la foulque noire et le grèbe. La Mayenne et l’Aisne, autrefois très poissonneuses, le sont beaucoup moins depuis quelques années. On y pêche la truite, la perche, le brochet, le barbeau, le chevenne, l’anguille, le gardon, le goujon et l’ablette. L’écrevisse, qui était très commune dans les ruisseaux, a complètement disparu.
Flore.
La flore n’offre rien de particulier dans la commune. On n’y trouve non plus ni grottes, ni curiosités naturelles.